Rester jeune grâce à la Spiruline

Publié le : 21/08/2018 13:59:13
Catégories : Santé

Rester jeune grâce à la Spiruline

Les études approfondies, que nous avons réalisées en étudiant les publications scientifiques sur la Spiruline, nous permettent d’affirmer qu’il s’agit probablement du meilleur complément nutritionnel que l’on puisse trouver pour rester en bonne santé, malgré les années.

La panoplie des multiples effets bénéfiques de la Spiruline correspondent, en effet, aux diverses problématiques que l’on rencontre avec l’âge : baisse des défenses naturelles, fragilité cardiovasculaire avec augmentation des lipides sanguins, état inflammatoire chronique qui fragilise l’organisme, stress oxydatif qui accélère le vieillissement et enfin troubles neurologiques divers aussi bien au niveau central que périphérique.

L’ensemble des études consultées permettent d’affirmer qu’un apport nutritionnel de Spiruline, petite algue bleue bourrée de nutriments actifs, améliore la santé de façon significative dans l’ensemble de ces problématiques :

Un effet immuno-modulateur

 Le système immunitaire est d’une très grande complexité ce qui le rend vulnérable à divers dérèglements :

  • Il peut s’emballer et provoquer des réactions excessives sous forme d’allergies diverses et de phénomènes inflammatoires. Dans un autre texte, nous avons détaillé l’action bénéfique de la Spiruline dans les cas d’inflammation allergique, grâce à l’action antihistaminique d’un pigment coloré, dénommé phycocyanine, présent en forte quantité (1). Cette activité fut largement confirmée en clinique chez des patients atteints de rhinite allergique (2).
  • Au contraire les défenses naturelles peuvent être déficientes, lors de périodes de fatigue ou en prenant de l’âge. Dans ces cas-là, la Spiruline stimule en particulier l’immunité innée, celle qui est naturellement présente dans l’organisme, contrairement à l’immunité acquise qui est induite par les microbes (3) (4).
  • Cette action d’immuno-stimulation fut mise en évidence lors d’une étude clinique californienne chez 40 volontaires de plus de 50 ans et présentant une anémie et une déficience immunitaire. Les sujets prirent 6 comprimés par jour de Spiruline dosé à 500mg par comprimé, pendant 12 semaines. Les expérimentateurs observèrent une nette augmentation du nombre de cellules sanguines et en particulier de globules rouges dès 6 semaines. De même, le taux d’hémoglobine était augmenté. Dans le même temps, le marqueur de l’état immunitaire utilisé (indolamine dioxygenase) était augmenté dans la majorité des cas. Les meilleures améliorations furent enregistrées chez les personnes les plus âgées. Les auteurs de l’étude concluent que la Spiruline constitue un excellent complément nutritionnel pour améliorer les états anémiques et les déficiences immunitaires des personnes âgées (5).
  • Il est bien connu que l’entrainement sportif intensif provoque une baisse des défenses immunitaires qui rend les individus sensibles aux infections récidivantes. Une étude réalisée chez l’équipe polonaise de rameurs, ayant reçu 1.500 mg d’un extrait de Spiruline pendants 6 semaines, a mise en évidence une nette augmentation des marqueurs cellulaires de l’immunité par rapport au groupe placebo (6).

Une diminution du risque cardiovasculaire

 Ce que l’on dénomme le « syndrome métabolique » est constitué d’un ensemble de pathologies caractéristiques de notre civilisation pléthorique : obésité, diabète, hypertension, excès de lipides sanguins et athérosclérose. L’un ou plusieurs de ces symptômes apparaissent en général après 50 ans ou chez des sujets à risque.

  • Des études sur l’animal ont mis tout d’abord en évidence une action favorable sur les lipides sanguins considérés comme des facteurs de risque cardiovasculaire. Dans une étude japonaise, des rats soumis à un régime hypercholesterolémique, une alimentation contenant 1 ou 5% de Spiruline provoque, en 8 semaines, une baisse marquée des triglycérides, du cholestérol total et des lipoprotéines à faible densité (LDL-C) de 26 à 41%. Dans le même temps les HDL-C sont remarquablement augmentées et la paroi aortique est moins sclérosée (7).
  • Ces résultats furent confirmés dans une étude ultérieure chez des rats hyperglycémiques soumis à un stress oxydatif générant une résistance à l’insuline avec hyperinsulinémie. Après 4 semaines de supplémentation avec 50mg/kg de poids corporel de Spiruline, les expérimentateurs ont observé une baisse du TNF alpha (Tumor Necrosis Factor), de l’adiponectine, du taux de peroxydation lipidique. Il fut également noté une nette amélioration des indices cholestérolémiques. Ces résultats confirment l’action anti-inflammatoire, anti-stress oxydatif et une amélioration de la sensibilité à l’insuline (8).
  • Des chercheurs français de l’Université de Bretagne ont réalisé une étude plus complète chez le rat présentant à la fois une hyperglycémie, un stress oxydatif et un diabète. Une alimentation enrichie avec 5% de Spiruline entraine les résultats suivants : diminution du taux de glucose, perte de poids, amélioration de la toxicité hépatique (phosphatase alcaline, transaminases, bilirubine et peroxydation lipidique). En outre la baisse des triglycérides, du cholestérol total et des HDL est confirmée. L’étude histologique du foie a confirmé ces résultats. Il est intéressant de signaler que la Spiruline a permis d’obtenir de meilleurs résultats que l’insuline sur l’hyperglycémie et sur le stress oxydatif (9).
  • Ces travaux confirment l’immense intérêt de la Spiruline dans le traitement ou la prévention du syndrome métabolique chez l’homme. Une étude japonaise sur l’animal confirme cette hypothèse et attribue en partie les effets bénéfiques sur le syndrome métabolique à la Phycocyanine, pigment spécifique de la Spiruline (10).
  • Une première étude clinique en double-aveugle contre placebo fut réalisée en Corée sur 67 sujets âgés de 60 à 87 ans. Le groupe expérimental a consommé 8g par jour de Spiruline pendant 16 semaines consécutives. Il fut enregistré une baisse significative du cholestérol plasmatique ainsi qu’une amélioration du statut antioxydant avec une diminution de l’activité de la superoxide dismutase. Sur le plan immunologique l’interleukine-2, qui joue un rôle essentiel dans la lutte contre les infections et les processus tumoraux, fut augmentée. Par ailleurs, l’interleukine-6, souvent élevée chez les personnes âgées, fut réduite, sachant qu’un excès conduit à l’inflammation et aux maladies auto-immunes (11). 
  • Une très intéressante étude clinique en double-aveugle contre placebo a été réalisée par une équipe polonaise spécialisée dans le traitement de l’obésité et des désordres métaboliques. L’étude a porté sur 50 sujets obèses traités convenablement contre l’hypertension. Le groupe expérimental a reçu en outre 2g par jour de Spiruline et le groupe contrôle un placebo. Après 3 mois, la supplémentation en Spiruline a engendré une baisse significative de l’indice de masse corporelle (IMC) et de la circonférence abdominale. La Spiruline a aussi provoqué une baisse significative du taux de LDL plasmatique et d’interleukine-6 par rapport au placebo. Ce qui est remarquable c’est une « amélioration considérable du statut antioxydant global et de la sensibilité à l’insuline » selon les termes des expérimentateurs (12). 
  • Une étude comparable fut publiée la même année (2017) par une équipe iranienne de l’université de Tabriz et réalisée également en double aveugle contre placebo chez 64 sujets obèses. Le groupe expérimental n’a reçu que 1g par jour de Spiruline en deux prises pendant 3 mois. Les chercheurs ont enregistré une baisse significative de l’Indice de Masse Corporelle (IMC), du cholestérol total ainsi qu’une augmentation significative du taux plasmatique de HDL. Ils ont aussi noté une baisse de l’appétit, mais le taux de triglycérides et de LDL n’avait pas baissé. Il se peut que la dose assez faible de seulement 1g par jour soit responsable de ces résultats dans l’ensemble inférieur que dans l’étude précédente réalisée avec un apport quotidien de Spiruline de 2g (13).
  • Certains patients sont plus sensibles que d’autres aux risques du syndrome métabolique. C’est le cas en particulier des malades du SIDA infectés par le HIV. C’est pourquoi il est intéressant de mentionner une étude clinique randomisée réalisée au Cameroun sur 169 patients atteints de la maladie dont 82 d’entre eux reçurent une supplémentation assez forte de 10g par jour de Spiruline. Au bout de 6 mois, Il fut observé une baisse significative du taux de cholestérol total, de LDL et de triglycérides ainsi qu’une augmentation significative du taux de HDL. Après 12 mois l’indice athérogène était très fortement diminué. Ainsi le rapport cholestérol total sur HDL est passé de 10,83 à 2,22, ce qui constitue un résultat tout à fait remarquable et ouvre des perspectives importantes dans la lutte contre le risque cardiovasculaire chez les sujets à risque (14).

Une puissante action neuroprotectrice

La liste des effets bénéfiques de la Spiruline est loin d’être close et c’est à juste titre que de nombreux auteurs lui ont attribué le terme de « Superfood » (Super aliment).

L’action contre le stress oxydatif laisse en effet entrevoir une action protectrice des neurones et du fonctionnement du système nerveux en général.

  • Les premiers essais furent réalisés in vitro sur des cellules neuroblastomes (lignée cellulaire du cancer de cellules nerveuses embryonnaires) soumises à un stress oxydatif induit par le fer. Un extrait de Spiruline a développé une puissante activité anti-oxydante avec une protection des enzymes impliqués dans l’action contre le stress oxydatif et les radicaux libres. Les auteurs concluent que la Spiruline pourrait constituer un nouveau traitement dans nombre de maladies dégénératives dans lesquelles les effets oxydants du fer est impliqué, comme dans les maladies de Parkinson et d’Alzheimer (15).
  • Dans une publication plus récente, les auteurs ont tout d’abord étudié l’effet neuroprotecteur d’un extrait de Spiruline sur la neurotoxicité du trimethyl-étain qui génère des radicaux libres. Sous l’effet de la Spiruline, ils ont observé une diminution de la production de radicaux libres et du stress oxydatif ainsi qu’une augmentation des facteurs neurotrophiques. Dans une autre partie de l’étude les auteurs ont montré que l’extrait de Spiruline administré à des souris permettait de prévenir les déficits cognitifs et comportementaux induits par la scopolamine (16).
  • Certains médicaments chimiques utilisés comme traitement dans les psychoses provoquent des effets secondaires sous forme de tremblements. Ces effets sont dénommés « dyskinésie » ou « mouvements extrapyramidaux et sont générés en particulier par l’halopéridol. Cet effet secondaire serait dû à la production de radicaux libres. Chez les souris ayant reçu une injection d’Halopéridol cela provoque un réflexe de mâchonnement caractéristique. Cet effet est inhibé par l’administration de Spiruline à la dose de 180mg/kg ce qui traduit une puissante action contre le stress oxydatif (17).
  • Une autre étude intéressante réalisée sur l’animal a mis en évidence un effet protecteur d’un extrait de Spiruline sur les neurones producteurs de dopamine chez les souris atteintes de la maladie de parkinson expérimentale. Il fut enregistré une augmentation de l’activité des enzymes plasmatiques antioxydants : la superoxide dismutase et la glutathion peroxydase (18).
  • S’appuyant sur les travaux précédents, des chercheurs mexicains ont brossé un tableau général de l’action neuroprotectrice de la Spiruline dans une réflexion globale. Ils posent l’hypothèse que cette action se déploie à partir de la microglie. Ces cellules de type macrophage jouent en effet un rôle important dans l’immunité et aussi dans le déclenchement d’un processus oxydant excessif conduisant à la maladie de Parkinson et à la maladie d’Alzheimer ainsi qu’à d’autres processus neurodégénératifs avec augmentation des enzymes NADPH oxydases, générateurs de radicaux libres. Ces auteurs font remarquer que l’activation de la NADPH oxydase a non seulement un impact sur l’ischémie cérébrale mais agit à travers l’angiotensine II pour induire de l’hypertension. Ceci montre qu’il s’agit d’un processus biologique global qui place la Spiruline au cœur de la protection neuronale chez les personnes âgées (19). Il est important de noter au passage que différents auteurs ont établi un lien entre l’hypertension et la maladie d’Alzheimer.

Activation de la remyélinisation

La myéline est constituée de divers phopholipides et lipides complexes. Elle est présente sous forme de gaines protectrices autour des nerfs et au niveau des membranes biologiques intracellulaires, en particulier dans les mitochondries. Des atteintes de la myéline constituent un grave processus neurodégénératif très invalidant que l’on trouve dans l’encéphalomyélite et dans certaines maladies auto-immunes comme la sclérose en plaque.

  • Les chercheurs savent induire chez l’animal une encéphalite expérimentale qui est le modèle le plus proche de la sclérose en plaque humaine. Il n’existe pratiquement pas de médicament qui soit actif dans ce test. Cependant, le pigment Phycocyanine extrait de la Spiruline possède des propriétés anti-oxydante qui laissait espérer une action favorable dans le processus de démyélinisation. Une première étude in vitro a montré que la phycocianine est capable de déclencher un mécanisme de prévention et de régression du processus de démyélinisation sur des cellules sanguines de patients atteints de sclérose en plaque. Les mêmes auteurs ont montré que la phycocyanine génère un processus antioxydant et améliore les dommages sur la myéline axonale chez des rats atteints d’encéphalomyélite allergique expérimentale (20).
  • Des auteurs ont comparé l’action de l’interféron béta (IFN-béta) avec celle de la Phycocyanine contenue dans la Spiruline sur l’encéphalomyélite expérimentale chez la souris. L’interféron-béta est une cytokine naturelle qui constitue à l’heure actuelle le principal traitement de la sclérose en plaque. Son efficacité est limitée, les effets indésirables gênants et le prix prohibitif. Les résultats ont montré que la phycocyanine améliore la détérioration clinique des animaux, réduit l’inflammation, préserve l’intégrité des axones et diminue l’expression de l’interleukine-17 (IL-17), cytokine pro-inflammatoire. En outre, la Phycocyanine module l’expression des gènes en relation avec la remyélinisation et la gliogénèse. Les auteurs concluent que la phycocyanine  est le seul agent qui agit globalement sur l’encéphalomyélite expérimentale grâce à de multiples processus biologiques (21).
  • Une étude plus récente et plus approfondie a été réalisée chez des rats atteints d’encéphalomyélite expérimentale. L’administration orale de Phycocyanine contenue dans la Spiruline entraine une amélioration clinique et restaure la fonction motrice des animaux. Le traitement diminue les marqueurs du stress oxydatif et surtout protège l’intégrité de la gaine de myéline, comme le prouve l’examen au microscope électronique. En outre, la Phycocyanine réduit le niveau des cytokines pro-inflammatoires interleukine-6 et interféron-gamma (22). Ces résultats prometteurs laissent penser que la Spiruline ou la phycocyanine pourrait améliorer la qualité de vie et le processus de démyélinisation des patients atteints de sclérose en plaque.
  • La démyélinisation est un processus dégénératif commun à la sclérose en plaque et à l’ischémie cérébrale. Aucun traitement proposé ne génère de remyélinisation ce qui limite leur capacité d’amélioration durable. Seule la Phycocyanine contenue dans la Spiruline semble capable de régénérer la substance blanche chez le rat ou la souris atteints d’ischémie cérébrale ou d’encéphamomyélite, processus prouvé avec la microscopie électronique. Le contrôle des médiateurs pro-inflammatoires et oxydatifs, l’inhibition de la formation des prostaglandines inflammatoires, la modulation de l’expression de certains gènes et la maturation des cellules impliquées dans la remyélinisation, sont tous des éléments qui plaident en faveur d’une vaste étude contrôlée dans ces indications (23). Dans l’état actuel des choses qui va financer une telle étude pour tester l’efficacité d’un produit bon marché et non breveté ?

Une action régénératrice globale

Les multiples propriétés bénéfiques de la Spiruline en font un puissant agent régénérateur global, à chaque fois que le métabolisme est fatigué, agressé ou intoxiqué. Divers essais expérimentaux ont montré le rôle protecteur de la Spiruline face à l’agression de plusieurs substances toxiques.

  • Il est connu que le développement des cellules souches des zones neuronales est gravement entravé par une neuro-inflammation, en particulier sous l’influence de cytokines. L’injection à des rats d’un complexe de liposaccharides induit un stress oxydatif avec neuro-inflammation et une inhibition de la neurogénèse. Les rats qui ont été nourris pendant le mois précédent l’injection de liposaccharides avec une alimentation enrichie avec 1% de Spiruline sont totalement protégés de ces effets délétères, y compris la prolifération des cellules souches. Dans une étude complémentaire in vitro, les mêmes auteurs ont montré que la Spiruline protégeait l’action négative de la cytokine TNF-alpha sur la prolifération des cellules souches neuronales (24). 
  • Certaines substances chimiques hautement carcinogènes sont utilisées pour induire des cancers expérimentaux. Ainsi le benzopyrène génère un cancer de l’estomac chez la souris et le dimethyl-benzanthracène initie un papillome de la peau. Dans les deux modèles il y a génération d’un puissant stress oxydatif. Dans les deux modèles, l’administration de Spiruline à la dose de 500mg/kg stimule le système de détoxification cancéreuse accompagné d’une augmentation significative des enzymes impliquées dans le processus d’anti-oxydation : superoxide dismutase, catalase, glutathion réductase, glutathion peroxidase. Le taux de glutathion réduit est également très significativement augmenté. Par ailleurs la Spiruline a diminué fortement l’indice cancéreux mesuré selon le nombre et l’importance des lésions. Pour les tumeurs de la peau, l’indice est passé de 4,86 pour le lot témoin à 1,15 pour le lot expérimental. Pour les tumeurs de l’estomac l’indice a aussi chuté fortement de 3,73 à 1,73 (25).
  • Dans un autre domaine, des millions de personnes vivent au Bengladesh dans des zones où les eaux contiennent une haute teneur en arsenic et sont l’objet d’un empoisonnement chronique pour lequel il n’existe pas de traitement satisfaisant. L’arsenic est un puissant inhibiteur de la chaine respiratoire au niveau cellulaire. L’empoisonnement se manifeste cliniquement au niveau de la peau sous forme de mélanomes et de kératoses caractéristiques. Dans une étude clinique contrôlée contre placebo, 24 personnes ont absorbé quotidiennement pendant 16 semaines 250 mg d’un extrait de Spiruline et de 2mg de zinc. Il y eut une très forte augmentation de l’excrétion urinaire d’arsenic dans le groupe expérimental. Dans le même temps, les scores moyens des mélanomes et des kératoses ont été amélioré de façon statistiquement significative (26). Ces résultats confirment, chez l’homme, le rôle détoxifiant de la spiruline.

Conseils d'utilisation

Après avoir réalisé cette vaste rétrospective sur les effets bénéfiques de la Spiruline, je peux constater qu’il s’agit probablement du plus extraordinaire complément nutritionnel qui soit, pour améliorer la santé à de nombreux niveaux et pour rester jeune dans son corps et dans sa tête. Une prise régulière de 2 à 4 grammes par jour de Spiruline me parait indispensable pour ceux qui se préoccupent de leur santé. Les bienfaits sont immenses.

Références bibliographiques

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