Publié le : 29/08/2017 16:14:57
Catégories : Santé
Depuis longtemps, l'aluminium est connu pour être neurotoxique. De nombreuses preuves montrent qu'une exposition chronique est un facteur déclenchant dans de nombreuses maladies neurologiques comme certaines démences, la maladie de Parkinson et même l'autisme.
Même si la preuve scientifique est dure à établir, due au manque d'études longitudinales et à la résistance des nombreuses industries qui utilisent de l'aluminium dans leurs produits, l'accumulation de liens et de preuves laissent peu de place au doute. Cependant, un cas étudié par l'université de Keele en Grande-Bretagne (1) a clairement montré qu'une personne qui avait été en contact fréquent de l'aluminium dans le cadre de son travail, et qui présentait de forts taux d'aluminium dans son cerveau, est mort par la suite de la maladie d'Alzheimer. Même s'il existe de nombreuses autres indications que l'exposition régulière à l'aluminium est liée aux pathologies neuro dégénératives et à Alzheimer, ce cas est réputé en faire la preuve.
Même si l'aluminium est présent partout dans les sols, l'eau ou l'air, l'être humain a considérablement accru sa présence par l'exploitation minière, l'industrie et ses produits manufacturés, ainsi que par le fonctionnement des incinérateurs et des centrales à charbon. Il faut en outre savoir que l'aluminium ne se dégrade pas dans l'environnement. Il peut juste changer de forme en s'attachant ou se détachant d'autres éléments. La pluie amène l'aluminium présent dans l'air dans les sols et dans nos réserves d'eau. Ainsi, si l'on vit près d'un bassin industriel, il ne fait en général aucun doute que notre exposition à l'aluminium est plus grande que la moyenne. (2)
Pour en mesurer l'ampleur, les autorités américaines (CDC) estiment qu'un américain moyen ingère entre 7 et 9 mg d'aluminium par jour, essentiellement par sa nourriture, mais aussi dans une moindre mesure par l'air respiré et l'eau. Normalement, notre corps retient 1% de cet aluminium, le reste étant rejeté si tant est que notre système digestif fonctionne correctement. C'est encore un bon exemple de l'importance d'entretenir notre flore intestinale avec la prise de probiotiques en particulier.
Les tests en laboratoire montrent que l'aluminium contamine énormément de produits présents sur le marché : de la nourriture aux boissons en passant par les produits pharmaceutiques. Cela indique que les processus industriels en eux-mêmes sont en cause. On retrouve de l'aluminium dans :
La contamination par l'aluminium de nos aliments est bien plus importante que vous pourriez le croire. Ainsi, dans une étude publiée dans le journal Environmental Sciences Europe (3), les chercheurs ont analysé 1431 aliments et boissons d'origine non animale. Ils ont ainsi trouvé:
Et comme si cela ne suffisait pas, nous avons la bonne idée de faire de la cuisine avec des feuilles d'aluminium. Vous croyez que j'en rajoute ? Et bien une étude de 2006 (4) a montré que cuire dans une feuille d'aluminium augmentait la concentration d'aluminium dans les aliments dans les proportions suivantes :
Les scientifiques sont unanimes et clairs sur le fait que les métaux toxiques endommagent les tissus de notre cerveau et conduisent à des maladies dégénératives en augmentant fortement le stress oxydatif : et l'aluminium est un des pires !
Du fait de l'explosion de la maladie d'Alzheimer, les nombreuses sources de contamination par l'aluminium doivent être un sujet de préoccupation prioritaire. Une fois l'aluminium présent dans votre organisme, il est difficile de l'éliminer, et il se déplace facilement et sans entraves grâce à notre système de transport du fer. Surtout, il traverse des barrières biologiques qui arrêtent normalement d'autres formes de toxines, comme la barrière hémato-encéphalique. Et avec le temps, l'aluminium se concentre dans votre cerveau causant de sérieux problèmes quelque soit notre âge, et donc également pour les enfants.
A cet égard, les vaccins sont un problème majeur ! L'aluminium est en effet l'adjuvant le plus fréquent. Officiellement, le discours est que c'est inoffensif. Pourquoi alors autant d'études scientifiques nous disent-elles que l'aluminium induit de très sérieux désordres immunologiques et neurologiques ? Il est d'ailleurs très intéressant de voir que les symptômes d'une intoxication à l'aluminium sont de manière choquante similaires aux symptômes de l'autisme, d'Alzheimer, de Parkinson, du Trouble de Déficit de l'Attention, et d'autres maladies neurologiques. L'aluminium des vaccins peut provoquer de très sérieuses inflammations du cerveau en ciblant le cervelet et le système nerveux autonome responsables des processus biologiques sur lesquels nous n'avons pas de contrôle conscient (respiration, pression sanguine, équilibre, coordination...).
De plus, l'aluminium amoindrit notre cavité à éliminer d'autres toxiques comme le mercure notamment, en entravant la production de glutathion. Le glutathion est notre plus important détoxiquant intracellulaire, nécessaire pour inverser les mécanismes de stress oxydatif. Du coup, si nous avons trop d'aluminium dans notre organisme, notre corps va être potentiellement encore plus intoxiqué par le mercure par exemple (venant de vaccins contre la grippe ou du poisson).
En premier lieu, il est important d'éviter des sources d'aluminium en évitant des produits comme :
De plus, les produits suivants les chélateurs suivants peuvent vous aider à éliminer l'aluminium déjà présent dans votre organisme :
Parmi toutes ces informations, n'oubliez pas deux choses : le plus simple est déjà de se protéger de l'aluminium en éliminant de sa vie tous les produits connus en contenant ; ensuite, pour éliminer ce qui est déjà présent, faites une cure d'au moins trois mois de silicium.
(1) Journal of Medical Case Reports February 10, 2104 (2) CDC ATSDR Public Health Statement on Aluminum September 2005 (3) Environmental Sciences Europe November 28, 2011 (4) Meat Sci December 2006 (5) Rev Belge Med Dent (1984). 1990;45(2):53-8; discussion 58-9. (6) Neuro Endocrinology Letters 2005 Oct;26(5):609-16 (7) Journal of Pineal Research 1998 Jan;24(1):15-2 (8) Journal of Pineal Research 2005 Sep;39(2):129-36 (9) UCLA, Curcumin for Alzheimer’s (10) Biogerontology. 2009 Aug;10(4):489-502. (11) Ann Indian Acad Neurol. 2008 Jan-Mar; 11(1): 13–19
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